samedi 14 novembre 2015

Le plancher avance, et la maçonnerie également! Partie 2

Bonjour à tous!

Pour faire suite à mon article du 15 Novembre, je vais rattraper mon retard sur le blog!

Donc, heu, bun là, je sais plus à qu'elle date on as réalisé ces travaux, en octobre je dirais, mais ce n'est pas le plus important!

Pour que le maison soit enfin hors d'air, on as reprit les ouvertures existantes en faisant au plus simple pour ce pignon.

On as réalisé le jambage de la porte de service en béton de ciment. Avant le coffrage, on a installé des fers à béton qui sont également repris dans les pierres existantes. Après, il n'y a pas de mystère, on rempli de béton, en faisant attention qu'il descend bien, et en tapotant gentiment avec un marteau pour faire remonter la laitance du béton et que celui ci soit lisse lors du décoffrage:



Et une fois décoffré, voilà le résultat, avec en plus le seuil de la fenêtre de la cuisine installé:


Ah oui, j'ai dis qu'on faisait au plus simple pour ce pignon, mais je n'ai pas dit pourquoi! Ce pignon est le moins mais vraiment le moins visible sur l'ensemble de la propriété, de plus par la suite, cela va être un "chenil" pour le toutou, du moins un petit enclos si il en as besoin. Donc à l'avenir, il est prévu un enduit complet sur ce pignon!


Pour reprendre cette ouverture avec une maçonnerie au dessus plus que douteuse, on a retiré par morceau l'ancien linteau en bois qui se trouvait au dessus de celui installé à présent. Cela a permis de pouvoir maçonner "tranquillement" sans que toute la pierre ne tombe! Je précise qu'on as remplacé uniquement le linteau extérieur, ceux à l'intérieur sont en bonne état, et j'ai assez en réservation pour le volet roulant.



Derniers bébés, Yes!
Le moment du remplacement de la dernière poutre en chêne est enfin arrivé. 
Pourquoi terminé par cela?
1° Parce que l'accès en tracteur est impossible, il a fallu déplacer les poutres à la main.
2° Parce que je me suis posé mille et une question pour étayer la charpente, j'ai ré utilisé la solution que j'avais trouvé par les autres mais je n'étais pas certain de l'efficacité.
3° Parce que la maçonnerie au dessus de l'ancienne poutre ne me mettait vraiment pas en confiance!

Donc et bien, avec tout ces doutes, et comme trop souvent, je n'ai pas prit de photo. La ou je suis content, c'est que ma "solution" pour étayer la charpente a tenu. On a pu descendre via les palans à chaîne l'ancienne poutre d'un seul morceau, et une fois au sol, on n'a pas eu d'autre choix que de la couper en morceau d'un mètre pour la sortir.
Pour rentrer les deux poutres, le voisin juste avant l'heure de l'apéro est venu nous donner un coup de main! A 4 déplacer plus de 200kg par poutre c'est faisable, mais faut pas des dizaines de mètre! 




Et voilà ce que j'ai "inventé" pour pouvoir étayer la charpente. Si je n'étais pas sur pour cette ferme, c'est que sur les autres arbalétriers, j'avais déjà un trou ou je faisais passer une tige fileté. Au moins, j'étais sur que cela n'allait pas glissé le long de l'arbalétrier.

Donc en gros l'idée: Une tige fileté devant, et une derrière l'arbalétrier, on installe après une poutre en chêne (plus costaud), sous les bouts de bois ou se trouvent les tiges filetés. Et sur cette poutre, on peut y placer les étais. La contrainte mise sur les étais se transmet directement sur les tiges filetés qui viennent prendre en mâchoire l'arbalétrier. Il y a peut être d'autre solution, mais celle ci fonctionne plutôt bien. Par mesure de sécurité, avant on installait toujours sur chaque ferme une sangle de camion (les plus grosses) pour éviter que la ferme ne s'écarte!




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